Parcours

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Persuadé de la responsabilité interdisciplinaire de l’architecte, je me suis toujours appliqué à diversifier ma formation qui est artistique (Atelier de Sèvres, Paris), technique (Ecole Spéciale d’Architecture, Paris) économique et sociale (Columbia University, New York)



Selon la même logique, j’ai tenu à provoquer les expériences à l’étranger en choisissant des lieux qui me fascinent par leur identité forte. Entre autres, j’ai travaillé à Beyrouth, Barcelone et Hong Kong. J’ai développé un projet d’autoconstruction dans un village Sénégalais après une étude sur les techniques locales de construction et les différents intervenants. Plus récemment, je me suis penché au sein d'une équipe internationale, sur le bidonville de Dharavi, à Mumbai. Les visites successives et les rencontres in situ nous ont persuadés qu’au lieu de proposer un nouveau plan masse pour Dharavi, il fallait valoriser la spécificité de cette ville dans la ville. Nous voulions favoriser l’économie locale entre les différentes communautés par une meilleure gestion de l’eau et des déchets.



​L’architecture est pour moi un moyen de participer, en tant que citoyen, à une époque aussi complexe que fascinante.​ C'est pour cette raison que je m'associe dans chacun de mes projets à des personnalités d'autres domaines (chercheurs au CNRS, artisans, responsables politiques...)​

Mes principaux axes de recherches sont l'autoconstruction, l'architecture biodégradable et l'expression de la géopolitique dans les formes urbaines.



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